Troisième
prix / Dritter Preis : Elisabet Schmidt & Moritz Gruber
An
der tschechischen Grenze
Auf den Spuren der EU-Osterweiterung
Europa
ist am 1.Mai um zehn Staaten gewachsen, darunter Tschechien. Daher sind wir gemeinsam
aufgebrochen, um die Grenzstadt Bayerisch Eisenstein zu besuchen.Unter Tschechien
darf man sich freilich nicht nur billige Zigaretten, billigen Alkohol und manches
andere vorstellen, solche Vorstellungen haben aber zum Teil ihre Richtigkeit,
da in den Neu-EU-Mitgliedsstaaten für weniger Geld gearbeitet wird und daher
auch die Waren billiger verkauft werden können.
Dies wird wohl auch
der Grund dafür sein, dass einige der von uns zum Thema EU-Osterweiterung
befragten Leute etwas skeptisch waren. Es bleibt zu hoffen, dass diese Skepsis
nicht zu Vorurteilen und Fremdenfeindlichkeit führt. Wir haben leider auf
unserer Fahrt mehrere NPD-Wahlplakate gesehen, von denen eines noch fast drei
Wochen nach dem 1. Mai die Ablehnung der EU-Osterweiterung forderte.
Hoffentlich
war das nur Zufall oder ein subjektiver Eindruck.
Aber nun zu unserer Fahrt.
Bevor wir, eine Schüleraustauschgruppe mit jeweils 18 deutschen und französischen
Schülern, mit dem Bus fuhren, teilten uns unsere Lehrer auf Arbeitsblättern
Informationen über die Geschichte Bayerisch Eisensteins, Berichte und Kommentare
der Landshuter Zeitung über die EU-Osterweiterung sowie eine französische
Landkarte aus. Man erblickte "La Bavière orientale" auf der französischen
Landkarte und musste nun klären, was das hieß. Nämlich keinesfalls
"orientalisches Bayern", wie mehrere deutsche Schüler glaubten,
sonderen schlichtweg " Ostbayern".
Nach etwa zweistündiger
Fahrt erreichten wir Arnbruck, wo wir ein dem Bayerischen Wald eigenes Handwerk
bestaunten, nämlich die Glasbläserei. Hier durften wir zusehen, wie
ein routinierter Glasbläser eine Kugel, eine Vase und eine kleine Figur blies.
Schließlich erreichten wir gegen Viertel nach zwölf Bayerisch
Eisenstein. Hier sah man die Grenze, die mitten durch einen Bahnhof und die davor
liegende Straße verläuft. Sie ist durch unterschiedliche Bepflasterung,
große Steinblöcke und durch Fahnen gekennzeichnet. Da es sich um einen
grenzüberschreitenden Wanderweg handelt, kann man hier ganz einfach die Grenze
passieren. Lediglich der Ausweis ist mitzuführen, woran sich aber nicht jeder
hält.
Die Aufregung darüber, an einer Grenze zu stehen, zeigte sich
unter anderem darin, dass einer unserer Austauschpartner Wedelhüpfen an der
Grenze machte mit den Rufen "allemand - tchèque, allemand - tchèque...".Danach
gingen wir über die ordentliche Grenzstelle zum Einkaufen nach Tschechien,
soweit man nicht den Ausweis vergessen hatte, denn hier konnte man dann nicht
durch. In dem Fall ging man dann in Bayerisch Eisenstein zum essen. Später
ging es weiter an den Abersee, wo wir Boot fuhren und spazieren gingen. Alles
in allem war es ein schöner und auch interessanter Ausflug.
A la frontière tchèque
Sur les traces de
l'élargissement de l' Europe
L' Europe a grandi de
10 états le 1.mai et parmi eux la république tchèque. Voilà
pourquoi nous y sommes allés pour visiter la ville frontalière Bayerisch
Eisenstein. Quand on pense à la république tchèque, il ne
faut pas seulement penser aux cigarettes et l' alcool bon marché, des idéés
qui ne sont pourtant pas si fausses, parce que dans ces nouveaux états
européens on travaille pour moins d' argent et par conséquent la
marchandise peut être vendue moins chère.
Ceci est sûrement
aussi la cause du scepticisme de certaines personnes que nous avons intérrogés
sur le thème de l' élargissement de l' Europe . Il reste à
espérer que ce scepticisme n' aboutisse pas à des préjugés
ou à la xénophobie. Nous avons malheureusement vu, sur notre chemin
des panneaux de la NPD sur lesquels on refusait l' élargissement et ceci
presque trois semaines après le 1er mai. Espérons que ce n' était
que le hasard ou une impression subjective. Passons maintenant à notre
excursion. Avant que nous, un groupe participant à un échange scolaire,
avec 18 élèves allemands et francais partirent avec le bus, nos
professeurs nous ont distribué des feuilles de travail contenant des informations
sur l' histoire de Bayerisch Eisenstein et des rapports et commentaires du journal
de Landshut, "Landshuter Zeitung", concernant l'élargissement
de l' Europe avec en plus une carte en français.Sur cette carte routière
francaise nous vîmes "bavière orientale" et nous devions
expliquer ce que cela voulait dire. De toute façon en aucun cas la bavière
de l' orient comme le croyais plusieurs élèves allemands mais la
bavière de l' est. Après environ deux heures de route nous arrivâmes
à Arnbruck, où nous admirâmes l' artisanat de la fôret
de bavière, à savoir la verrerie. Ici nous pouvions observer un
souffleur de verre expérimenté fabriquer une boule, un vase et une
petite figurine rien qu'en soufflant
Vers midi et quart
nous arrivions finalement à Bayrisch Eisenstein. Ici nous pouvions voir
la frontière qui passe en plein milieu de la gare et d'une rue. Elle est
signalée par des pavés différents, de gros blocs de pierre
et des drapeaux. Comme ils'agit d'un chemin de randonnée frontalière,
on peut passer très facilement d'un pays à l'autre. Il suffit d'avoir
ses papiers d'identité sur soi, mais tout le monde ne le respecte pas.
Le fait d'être sur une frontière se montra dans l'excitation d'une
des élèves qui sautait d'un côté à l'autre "allemand
- tchèque - allemand - tchèque.....". Ensuite nous allions
à la frontière officielle pour faire quelques emplettes en Tchéquie,
tant qu'on avait pas oublié ses papiers, car ici on ne pouvait pas passer
sans papiers.
Si c'était le cas, il fallait manger à Bayrisch
Eisenstein. Plus tard nous sommes allés au Abernsee, où nous avons
fait des ptomenades en bateau ou à pied.Somme tout c'était une belle
et très intéressante excursion.
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