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Le Chiemsee, c'est schön !
Le Chiemsee est un magnifique lac avec deux belles îles dont l'une fait
apparaître un château datant du XIXème siècle sous le règne du roi de
Bavière " Ludwig der zweite ". Ce monument historique est devenu une attraction
touristique. L'île est aussi dotée d'une belle plage et de forêts. Cet
immense château comporte environ 70 salles, mais seulement 20 ont été
finalisées. Nous savons également que Ludwig II a vécu dans une autre
habitation de l'île et qui est devenue désormais un musée que les lycéens
ont visité. Le roi de Bavière a par la suite logé dans le château, mais
seulement pour deux semaines, car il est décédé peu de temps après d'une
mort mystérieuse.
Ce roi, grand partisan de la monarchie française, a en fait copié toutes
les magnificences créées par Louis XIV. Les lycéens du Lycée Charlemagne
et du Hans Leinberger Gymnasium sont venus visiter ce lac et ce château.
Tous étaient fascinés par la grandeur et le style de ce château qui est
inspiré par Versailles. On y trouve même une galerie des glaces imitant
celle de Versailles.
L'une des deux îles était certes petite, mais ce fut sur celle-ci que
tous les élèves se sont le plus amusés, en pouvant un peu " patauger "
dans le lac, lequel était malgré tout encore assez froid !
Finalement le Chiemsee est un grand et magnifique lac par la splendeur
duquel tous les élèves ont été vraiment impressionnés. Ils ont donc tous
fini par s'exclamer: " sehr schön !".
Sébastien et Joris
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Un lycée vert
L'écologie est devenue un thème actuel de première importance, même dans
l'enseignement. En France, les établissements scolaires ne prennent pas
de mesures. C'est tout le contraire ici en Allemagne, où des moyens financiers
sont débloqués et des infrastructures sont construites pour économiser
l'énergie et faire du recyclage.
Je me suis rendue au lycée Hans Leinberger de Landshut en Bavière pour
savoir quels procédés ont été mis en place et comprendre leurs motivations.
La première chose qui m'a surprise, après les panneaux solaires installés
sur le toit, c'est la présence de 3 poubelles de couleurs différentes
les unes à côté des autres. J'ai d'abord cru que c'était pour égayer l'établissement
mais j'ai vu des élèves jeter leurs papiers dans la poubelle bleue, leurs
déchets plastiques et cartons dans la poubelle jaune et leurs déchets
organiques dans la poubelle verte.
Je me suis renseignée et j'ai découvert qu'il y a 3 ans, la mairie avait
arrêté de subventionner les containers à déchets qui coûtaient 4000 euros
par an. A la place, elle a fourni des poubelles de recyclage d'un montant
de 18 000 euros qui seront donc rentables dans 2 ans.
Pareillement, l'établissement a financé un collecteur de bouteilles plastiques,
installé à côté du distributeur de boissons. En recueillant ces emballages,
les élèves récupèrent la consigne payée lors de l'achat au distributeur.
Les bouteilles sont ensuite lavées puis réutilisées. Le lycée a aussi
installé des détecteurs de mouvements dans les couloirs et les toilettes.
La mairie payant l'électricité, la moitié des économies ainsi réalisée
sont reversées à l'établissement. Ce gain leur sert à acheter des meubles
et à payer des voyages scolaires. L'an passé, 3000 euros ont ainsi été
gagnés. Les élèves allemands sont extrêmement impliqués dans la protection
de l'environnement.
Chaque semaine après la pause, une classe différente ramasse les papiers
traînant dans la cour. Les classes de cinquième, soit l'équivalent de
notre CM2, cultivent chaque semaine pendant une heure une parcelle de
terre. Ce cours s'appelle '' Biologie, Natur und Technik '', c'est-à-dire
'' biologie, nature et technique ''. De plus, ils entretiennent de petits
'' hôtels ‚' pour les pince-oreilles et les coccinelles et chaque année,
toutes les classes sont mobilisées pour nettoyer les alentours du lycée
pendant toute une journée !
Ce voyage en Bavière fut très instructif. Le lycée Hans Leinberger est
un modèle d'écologie et devrait être imité par tous les établissements
scolaires. Les techniques ici développées ainsi que celles existant déjà
devraient être appliquées aux établissements français. Le monde irait
mieux.
Maud
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Une écologie économique
.
Landshut est une ville allemande qui est devenue très écologique en restant
tout de même économique. En effet toute la ville est aménagée dans le
but d'être le plus écologique possible. Tout d´abord il y a les tarifs
des bus qui sont bien plus avantageux qu'en France : le ticket qui ne
coûte que 1,60 € pour les élèves sert toute la journée. Ces tarifs peuvent
donc inciter les gens à prendre le bus plutôt que la voiture permettant
d'économiser ainsi le prix du pétrole.
Par ailleurs, moins les gens utilisent la voiture, moins il y a de pollution
; c'est donc bien un geste écologique qui est aussi économique. De plus
le lycée de la ville est lui aussi totalement aménagé dans ce sens. Il
y a pour commencer plusieurs poubelles pour les différents types d'ordures.
Une poubelle jaune pour les ordures en plastique et/ou papier, une verte
pour les ordures biologiques et une poubelle bleue pour les ordures qui
ne sont dans aucune des deux autres catégories. Il y a aussi cette machine
qui permet de récupérer les bouteilles en plastique. Tous les élèves l'utilisent
car ils payent une caution de 0,20 € et en mettant les bouteilles dans
cette machine ils récupèrent cette somme d'argent. Enfin chaque classe
doit, une fois par an, pendant une semaine, ramasser les ordures qui sont
dans la cour pour que leur lycée reste dans un environnement sain.
Pour conclure nous pouvons dire que toute la ville de Landshut est mobilisée
dans la lutte pour que règne l´écologie.
Nadir
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Un exemple de propreté : Le Hans-Leinberger-Gymnasium
Dès notre premier jour à l´école du Hans-Leinberger-Gymnasium, nous fûmes
noyés dans la vague des 1600 élèves et étonnés par l'immensité du bâtiment.
Puis peu à peu une question se posa : <Que
font tous ces élèves de leurs déchets ?> Tout cela
nous fut alors expliqué. Une fois par an, pendant une semaine, les élèves
d'une classe doivent nettoyer entièrement la cour de récréation, encadrés
par leurs professeurs. Pour leur faciliter la tâche, du matériel a été
mis à leur disposition, notamment des pinces, des balais et des pelles.
Une des autres raisons de cette propreté est la présence constante de
poubelles de tri : bleu (papier), vert (déchets organiques), jaune (plastiques).
Ces règles très simples sont imposées aux élèves et permettent d'économiser
de l'argent. Enfin pour ne plus donner aux élèves l'envie de jeter leurs
bouteilles vides encombrantes dans la cour, une machine permet de récupérer
les bouteilles plastiques et de récupérer 20 centimes par bouteille rendue.
Ainsi les élèves participent à la propreté du bâtiment.
Au delà des déchets, le lycée organise une fois par an le nettoyage complet
du lycée ainsi de la cave au grenier tout ce qui est inutile, sale, vieux,
sans intérêt est jeté dans de grandes bennes et emmené à la décharge.
Mais bien que tous ces aménagements soient pratiques et permettent d'avoir
une propreté exemplaire dans le lycée, ils ont tout de même coûté 18000
euros au Hans-Leinberger-Gymnasium. A long terme l'établissement espère
que cet investissement sera rentable.
Adrien et Kevin
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Hans Leinberger se met au vert …
Le Hans Leinberger Gymnasium s'est récemment mis au vert : la ville de
Landshut ne les aidant plus financièrement pour recycler leurs déchets,
celui-ci a donc décidé de mieux les trier pour pouvoir économiser. Ils
ont donc investi dans l'achat de trois sortes de poubelles : une bleue
pour les papiers, une verte pour les déchets organiques, et une jaune
pour les emballages plastiques et cartons. Mais il faut maintenant amortir
cet investissement de 18 000 euros.
Continuant sur leur lancée écologique, ils ont instauré un " Pausendienst
", le service de la pause : chaque classe, une semaine par an, a pour
devoir de ramasser les déchets des deux cours et du bâtiment pendant dix
minutes après leur récréation.
D'autres aménagements sont ensuite venus compléter ces idées écologiques
: à présent, plus aucune bouteille en verre, trop cassantes et trop polluantes,
mais des bouteilles en plastique, avec de plus un système de consigne
permettant de récupérer quelques centimes, sensibilisant encore davantage
les élèves au recyclage. De plus, l'aménagement de détecteurs de mouvements
dans les couloirs a permis aussi de faire des économies d'énergie, tout
comme l'installation de panneaux solaires sur le toit de l'établissement.
Mais le Hans Leinberger Gymnasium ne s'arrête pas là, dès l'entrée dans
ce Gymnasium, les jeunes élèves sont sensibilisés à l'écologie : création
de petits jardins bio pour chaque classe du 5ème niveau, construction
d'un mur écologique, servant de refuge à certains insectes bénéfiques
aux jardins. Des sorties sont aussi organisées dans les fermes bios avoisinantes
pour s´inspirer de certaines techniques et pour sensibiliser encore plus
les élèves à la protection de l´environnement.
Toutes ces mesures permettent des compensations non négligeables. Ainsi,
la ville de Landshut reverse à l'établissement 50% de l'énergie ainsi
économisée sous forme d'argent ; ils ont d'ailleurs reçu 3 000 euros l'année
dernière. Ce Gymnasium désire aussi faire partie d'une organisation créée
par le ministère de l'environnement allemand, pour laquelle il faut remplir
des conditions écologiques. Si celles-ci sont remplies, l´établissement
reçoit une subvention financière.
Le HLG est donc sur le chemin de l'écologie pure et dure.
Maxime et Dominique
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Une école avant-gardiste !
Arrivées devant le lycée, notre première impression fut notre stupéfaction
face à la grandeur et la modernité de l´établissement. Effectivement,
il contient environ 1600 élèves auxquels nous nous sommes mélangés durant
toute une semaine.
Tous ces élèves sont des artistes en herbe car ils peuvent s´exprimer
de façon légale sur les murs de leur école. De jolies gammes sont dessinées
près des salles de musique, des tasses de café près de la cantine, et
la nature est représentée près des salles de biologie.
La salle des professeurs est très vaste et correspond à la taille de notre
cantine en France. Ici, les élèves gardent leurs forces pour pratiquer
des activités l´après-midi. Car, oui, ces " fainéants " ont cours seulement
jusqu'à 13h.
Le matin, pas question de lever le petit doigt ni de bouger. Ce sont les
professeurs qui doivent éliminer leurs calories en se déplaçant jusqu´aux
salles de classe. Dans celles-ci, toujours pas d´efforts à faire, le tableau
coulisse de haut en bas en un mouvement pour se mettre à leur hauteur.
Malgré tout, ces minimes efforts méritent d´être récompensés par un bon
casse-croûte à la saucisse à 10h15 puis à 13h lorsque les cours sont terminés.
Justine et Laura
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Munich: une ville vivante
Lors d´un échange scolaire franco-allemand, des élèves du lycée Charlemagne
de Thionville ont visité Munich, capitale de la Bavière.
L´imposant stade du Bayern München que l´on voit de l´autoroute annonçait
déjà l´ampleur de la ville. Quelques minutes plus tard, le bus arrivait
en ville et déposait les élèves devant la Ludwig-Maximilians-Universität,
célèbre pour être un foyer important de la résistance contre le nazisme,
parti fondé par Adolf Hitler dans une brasserie du centre ville, le Hofbräuhaus,
et que les élèves ont visité.
Les jeunes Français ont découvert ensuite un centre ville animé et la
grande mairie de la ville, connue pour son carillon et les " statues "
qui y dansent à certaines heures.
Certains amateurs de musique ont pu se rendre dans le Hard Rock Café,
véritable musée du rock n´ roll dans lequel sont exposés des instruments
de musiciens mondialement connus.
Leur excursion dans la troisième plus grande ville d´Allemagne les a donc
enchantés.
Benjamin et Arnaud
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Le Hans Leinberger Gymnasium aux couleurs
de l'écologie
L'Allemagne est impliquée dans la sauvegarde de l'environnement.
Plus avancé que la France, le pays a investi dans de nombreuses infrastructures,
comme les panneaux solaires et les éoliennes. On retrouve ce souci de
protéger l'environnement dans de nombreux établissements scolaires tel
le Hans Leinberger Gymnasium de Landshut en bavière.
Il y a deux ans la mairie de Landshut a cessé de payer l'installation
d'un container au lycée, ce qui coûtait 4000€ par an à la municipalité.
L'établissement a donc dû mettre en place des mesures portant sur l'écologie
et le recyclage, pour lesquelles ils ont déboursé 18 000 €. Tout d'abord,
les bouteilles en verre ont laissé place aux bouteilles en plastique,
la direction a donc pu investir dans une machine qui récupère les bouteilles
en plastique pour les recycler. En plus, les élèves récupèrent ainsi la
consigne.
Pour continuer dans leur lancée, ils ont mis en place le tri sélectif
avec les poubelles colorées : jaunes pour le carton et le plastique, bleues
pour le papier et vertes pour le reste. Au même titre que le recyclage,
l'écologie joue un rôle important pour les élèves.
Dès leur arrivée au lycée, les élèves de la 5e classes ont un cours de
"Biologie, Natur und Technik" qui consiste à cultiver une parcelle de
jardin, chaque classe en possède une. Il y a ainsi 8 parcelles. Ils ont
aussi construit un mur naturel qui sera couvert de plantes et qui sert
" d'hôtel " aux insectes. ( tous les insectes n'étant pas nuisibles !)
L'écologie se retrouve aussi à l'intérieur de l'établissement à travers
les lampes des couloirs qui sont équipées de détecteurs de mouvements
: elles s'éteignent automatiquement en cas d'absence de mouvements. On
notera aussi la présence de panneaux solaires sur le toit.
Toutes ces installations ont
permis une économie importante d'électricité. Pour les inciter à continuer,
la mairie qui paie la facture d'électricité leur reverse 50% du montant
économisé. L'an dernier ceci leur a rapporté 3 000 € Afin de sensibiliser
les jeunes à la propreté, la direction a organisé une " Pausendienst "
: chaque semaine une classe est chargée de nettoyer la cour et le hall
pendant 10 minutes.
Une fois par an une journée est réservée à l'entretien du lycée et des
alentours. Pour le plus grand plaisir de tous, des journées dans des fermes
biologiques sont organisées afin que les élèves s'inspirent de leurs techniques
écologiques.
Dans la continuité de leurs actions, le lycée est entré dans un groupe
qui équivaut à l'agenda 21 dans notre pays, cela leur permet d'avoir une
subvention s'ils respectent un cahier des charges sur le projet de préservation.
Cet établissement est à prendre en exemple dans nos écoles françaises.
Il ne reste plus qu'aux élèves à soumettre leurs idées dans leur établissement
et peut-être un jour la France égalera-t-elle l'Allemagne en matière d'écologie.
Lisa et Sabrina
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Des Français perdus à Munich
Le 26 mai, un groupe d'élèves français a visité la prestigieuse ville
de Munich.
Après un périple d'une heure dans un bus, ils ont frôlé la catastrophe
en descendant sur la piste cyclable où une horde de vélos assoiffés d'écologie
a failli les percuter! Remis de leurs émotions, ils se dirigèrent vers
la deuxième plus grande université d'Allemagne : L'université " Louis
Maximilien ". Puis s'en suivit une balade dans le parc anglais surnommé
le " poumon vert " de Munich où nos joyeux compères ont pu admirer les
beautés de la nature. Arrivé au centre de la ville, sur la Marienplatz,
maintes explications furent nécessaires car il était 11h 55 et les statues
de l´Hôtel de ville allaient s'animer.
Ebahis devant ce spectacle, les élèves ne savaient que dire. Ils visitèrent
ensuite la plus grande brasserie de Munich : le " Hofbräuhaus " Après
quoi, ils montèrent les quelques 300 marches qui mènent au sommet de l'église
Saint Pierre d'où la vue sur la ville était impressionnante. Et puis vint
le temps de partir avec une pointe d'amertume et de quitter Munich en
laissant " l'alliance Aréna " derrière nous.
Mickael et Yoan
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Copie
conforme du château de Versailles sur une île bavaroise
Les élèves du lycée Charlemagne de Thionville accompagnés de leurs correspondants
bavarois du Hans Leinberger Gymnasium ont fait une excursion le 26 mai
2009 sur l'île Herrenchiemsee, située sur le lac Chiemsee, qui est le
lac le plus vaste de Bavière.
L'excursion a donc débuté sur l'île Herrenchiemsee, ou Herreninsel (en
français l'île des hommes) en grande partie boisée, et célèbre par son
château construit pour le roi Louis II de Bavière. Celui-ci avait acheté
en 1873 l'île entière pour la préserver d'un déboisement systématique.
La construction du château, toujours inachevée, a duré 8 ans jusqu'à la
mort mystérieuse du roi en 1886, et a coûté 20 millions de marks .
Finalement Louis II ne résida qu´une semaine à l'intérieur de cette copie
du château de Versailles. La ressemblance est frappante entre la copie
et le modèle, les jardins, la galerie des glaces…
Lors de son voyage en France en 1867, le roi de Bavière avait visité le
château de Versailles. Il a par la suite voué une admiration passionnée
pour le Roi Soleil. Il décida alors de faire construire son propre château
de Versailles. On y voit partout des portraits du roi Louis XIV . Les
couleurs dominantes du château sont l'or, le rouge et surtout le bleu,
qui était la couleur favorite du roi.
Monique et Eliane
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Le Chiemsee, un bijou de Bavière
Le Chiemsee, surnommé " la mer bavaroise " est le plus grand lac de Bavière
et le deuxième plus grand lac d'Allemagne avec une superficie de 80 km2.
Ce lac qui peut atteindre jusqu'à 72 mètres de profondeur et qui a une
moyenne de 26 mètres de profondeur, jouxte les Alpes bavaroises à la frontière
autrichienne. Il accueille dans sa partie sud plusieurs îles :
La " Fraueninsel ", surnommée l'île des femmes. Elle est occupée par un
couvent fondé par le duc de Bavière en 780.
L'île " Herrenchiemsee ", c'est-à-dire l'île des hommes, est la plus grande
des trois îles du lac. Elle abrite un des châteaux du roi " fou " : Louis
II de Bavière. Ce château construit sur le modèle de Versailles fut commencé
le 31 mai 1878 et ne fut jamais terminé en raison d'un manque d'argent.
La troisième île, la Krautinsel, est inhabitée. Enfin, d'un point de vue
touristique, le Chiemsee n'est pas qu'une réserve d'eau mais plutôt une
mine d'or car énormément de touristes et de baigneurs vident leur porte-monnaie
pour profiter du bonheur que représente ce petit bijou de la Bavière
Pierre et Laurent
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